C'est un projet fou que tentera le français Lilian Eymeric du 12 au 14 novembre 2016. Le challenger a prévu de rallier l'île Maurice et La Réunion en trois jours... à la nage. Soit une traversée de 236 kilomètres dans une eau glaciale. Les sommes récoltées serviront à soutenir les actions de l'association T1 Diams oeuvrant pour la prise en charge des jeunes diabétiques.
Comme un poisson dans l'eau, le challenger souhaite nager depuis Maurice jusqu'à La Réunion. Un traversée un peu folle qui devrait se dérouler du 12 au 14 novembre prochains. Lilian Eymeric a également prévu d'établir un record du monde, en ralliant les deux territoires - soit une distance de 236 kilomètres - en trois jours. Le record est actuellement détenu par un croate.
Originaire du sud de la France, il n'en est pas à un défi près. Son dernier exploit en date : le tour de l'île Maurice à la nage en 2014. Il a ainsi parcouru 177 kilomètres pendant cinq jours. Pour son tour de l'île, le Français compte braver les vagues de l'océan indien dans une cage métallique de 5 mètres de largeur et de longueur rattachée à un catamaran. Pas d'autre choix pour "se protéger des requins". Deux skippers ainsi que deux personnes pour le ravitaillement et un médecin l'accompagneront également.
Le défi partira de Maurice, depuis l'hôtel Lux Le Morne Beach. Lilian Eymeric devrait ensuite rejoindre la terre ferme pour la journée internationale du diabète, le lundi 14 novembre, sur la plage de Saint-Gilles. Après 236 kilomètres à se battre contre vents et marées.
L'aventure humaine c'est forcement en autonomie totale comme les premieres traversée de l'ile avec des sacs de 14kg, les nages de didier derand, ou les plongées spelo qui se font avec des stocks d'air pré acheminés, dorment sous l'eau au palier etc...
idem pour les traversées reunion maurice en kite, wind surf, rame etc... si c'est puor faire des pauses sur un bateau d'assistance, c'est pas de l'aventure.
"Les sommes récoltées serviront à soutenir les actions de l'association T1 Diams oeuvrant pour la prise en charge des jeunes diabétiques."
Et où sont récoltées les sommes? Pas dans l'eau quand même...