Courrier des lecteurs

Lettre d'un syndicaliste indigné de la Possession

  • Publié le 26 novembre 2014 à 14:14

A la retraite depuis quelques années, j'ai décidé de prendre la plume pour m'adresser à mes anciens camarades syndicalistes et aux nouveaux que je ne connais pas. Mon nom ne dira rien aux jeunes mais tous ceux qui ont connu les combats syndicaux de l'Ouest comme la grève à Édéna, les grèves pour les bourses des lycées soutenus par tous les ouvriers conscients me reconnaîtront. Moi en tout cas, je ne reconnais plus mon syndicat la CGTR à la Possession. Comment notre bonne vieille centrale a-t-elle pu se mettre en ménage avec Force ouvrière (FO) contre la Mairie et mener une grève aussi politique ?

Personne n’a compris les revendications : un plan de titularisation qui existait déjà et une grève contre une organisation des services qui va plutôt dans le sens du partage des emplois !

FO + CGTR avec en tête Savigny ex PS, ex Front de gauche en campagne avec l’UMP et je ne sais quoi plus encore toute la droite et par dessus le fils de Roland à la tête d'un bout du PCR. Fils de Roland qui se croit déjà mais dont on attend toujours  les états de service !

Seigneur, quel manger cochon ! Il ne faut pas se plaindre que les syndicats perdent de l’audience avec des pratiques pareilles. Franchement camarades, qui va encore vous croire après une récupération comme celle-là ?

On connaît les méthodes de FO qui a été fondé fin des années 40 pour casser le mouvement ouvrier. La CGTR se déconsidère dans ces mouvements politiciens et doit retrouver son autonomie de combat.
 
P.M alias Zoizeau Martin

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2 Commentaires
medium
medium
9 ans

bravo martin c'est le mariage de la carpe et du lapin associé a des opportuniste qui veille le moindre occasion pour se faire remarquer . dans tout cette histoire la miranville s'en sort plutôt bien en un mot la roule a zot

CFDT
CFDT
9 ans

C'est quoi ce papier ??? C'est même pas signé! Je ne comprends rien. Heureusement qu'il est en retraite celui-là car il mélange tout ! Et franchement, moi j'ai reçu les petits journaux de Savigny, au-moins un boug qui li travay !